Source : MR > Bienvenue sur le site du Mouvement Réformateur

Le Palais de Justice de Bruxelles, le plus grand de la planète, risque de devenir la plus grande coquille vide de la terre alors que divers services de l'appareil judiciaire et activités de justice quittent peu à peu le bâtiment dont les besoins de restauration, d'adaptation et tout simplement de maintenance sont criants.

L'avenir de l'œuvre monumentale de Joseph Poelaert, le «schieven architek» des Marolliens était au centre de l'afterwork thématique, «De l'échafaud à l'échafaudage: l'avenir du Palais de Justice», organisé ce mercredi soir par le Mouvement Réformateur en son siège de l'avenue de la Toison d'or, juste en face du Palais. Vincent De Wolf, Député bruxellois et Bourgmestre d'Etterbeek, a présenté les cinq intervenants : - Jean-Pierre Buyle, Bâtonnier de l'Ordre français des avocats du barreau de Bruxelles. - Laurent Vrijdaghs, Administrateur général de la Régie des Bâtiments. - L'Abbé Jacques Van der Biest, Curé de la paroisse des Minimes (Marolles). - Isabelle Pauthier, Directrice de l'ARAU (Atelier de recherche et d'action urbaine). - François Schuiten, Architecte, dessinateur de BD et scénographe. Une fois n'est pas coutume, nous commençons par les conclusions de Charles Michel. Le Président du Mouvement Réformateur a, en effet, indiqué que le MR se mobilisera sur le dossier du Palais de Justice au niveau parlementaire et gouvernemental fédéral avec le souci de préserver au sein de l'édifice la fonction judiciaire. Charles Michel a rappelé dans la foulée la grande vigilance du MR en ce qui concerne l'arrondissement judiciaire de BHV et le statut de Bruxelles. «La rénovation du Palais de Justice peut s'apparenter à une forme de symbole de la considération politique accordée à Bruxelles,» a déclaré le Président du MR. Charles Michel a également insisté sur la forte responsabilité politique qui imprègne le dossier. «La Régie des Bâtiments est une administration. Ce n'est pas sur elle que doit peser le poids des récriminations. Par contre, il est clair que l'absence de décisions politiques affectent aujourd'hui le fonctionnement de la justice tant au niveau de l'infrastructure que de l'informatisation et des cadres en personnel,» a-t-il expliqué. Pour le MR, cet afterwork ne peut se réduire à un simple échange de vue. Le rôle d'une formation politique est de porter les débats au sein des niveaux de pouvoir compétent en la matière et d'y construire des solutions pour chacun des problèmes identifiés. Cliquez sur le lien suivant pour lire le résumé des propos des intervenants            

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