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Elections fédérales de juin 2010

Comme lors de chaque échéance électorale, nous nous lançons dans le débat.
Mais nous n'avons pas les forces vives des partis politiques et comme les délais sont très courts, nous devrons nous limiter dans nos démarches.
Néanmoins, nous vous offrons déjà sur ce site un rassemblement d’informations et d’actualités sur les élections fédérales de juin 2010.

Bonne lecture

L'équipe de l’Observatoire indépendant de l’Environnement en Brabant wallon.

Consultez également notre avertissement aux lecteurs et commentateurs.





les élections 2010 dans la presse


Agorati


• Les nouvelles des partis francophones • Lundi 13/09/2010 • Version imprimable

Source :

Il faut donner une suite politique aux travaux du Groupe Wallonie-Bruxelles afin de permettre l'aboutissement d'un «projet pour les francophones de Wallonie, de Bruxelles et de la périphérie,» a déclaré Richard Miller, Député wallon et Président de l'Intergroupe du Mouvement Réformateur. «L''analyse des conclusions du Groupe Wallonie-Bruxelles doit être relancée à l'initiative du Ministre-Président Rudy Demotte en présentant une 'communication' qui permette d'ouvrir un débat en vue de l'adoption d'un projet pour les Régions et pour la Communauté,» a précisé Richard Miller, qui va déposer au Parlement de la Communauté française une proposition de résolution dans ce sens. «J'espère qu'il sera possible de dégager un consensus afin que le Parlement de la Communauté française puisse rapidement plancher sur les conclusions du groupe Wallonie-Bruxelles «restées lettre morte,» a-t-il ajouté, en évoquant «les conséquences majeures qui ne manqueront pas de résulter des élections fédérales de juin 2010, pour l'ensemble des francophones de Wallonie, de Bruxelles, de la périphérie bruxelloise et des Fourons.» Rappelons que le Groupe Wallonie-Bruxelles avait été installé en 2007 avec la mission de se pencher sur la nécessité de définir un projet collectif pour les francophones. Richard Miller rappelle que, à l'issue des élections fédérales de 2007, la Ministre-Présidente, Marie Arena (PS), craignant un possible éclatement de l'Etat belge, avait «jugé indispensable que les francophones prennent leur destin en main.» «Dans ce but elle proposa la création d'une commission mixte, composée de représentants des assemblées parlementaires francophones et de représentants de la société civile, dont la mission serait de définir un projet collectif pour les francophones et porterait sans tabou, sur la mise en œuvre des politiques et sur le fonctionnement des institutions francophones au service de ce projet,» poursuit Richard Miller. Le Groupe était présidé par Antoinette Spaak, Ministre d'Etat MR, et  Philippe Busquin, ancien Président du PS. Rudy Demotte avait, en un premier temps, marqué son intérêt pour un examen parlementaire des conclusions du Groupe Wallonie-Bruxelles, et avait annoncé une initiative gouvernementale en la matière. Mais le Ministre-Président fut, après coup, réticent à la mise en œuvre de cette procédure parlementaire qui aurait permis aux députés élus par les francophones de débattre de l'avenir institutionnel de la Wallonie et de Bruxelles, tant au niveau de leur devenir régional respectif, que de leur lien communautaire.   Lire toutes les explications de Richard Miller et le texte de sa proposition de résolution en cliquant ici

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