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Elections fédérales de juin 2010

Comme lors de chaque échéance électorale, nous nous lançons dans le débat.
Mais nous n'avons pas les forces vives des partis politiques et comme les délais sont très courts, nous devrons nous limiter dans nos démarches.
Néanmoins, nous vous offrons déjà sur ce site un rassemblement d’informations et d’actualités sur les élections fédérales de juin 2010.

Bonne lecture

L'équipe de l’Observatoire indépendant de l’Environnement en Brabant wallon.

Consultez également notre avertissement aux lecteurs et commentateurs.





les élections 2010 dans la presse


Agorati


«Il ne faudrait pas sous-estimer l'importance de l'acte du changement de nom de la Communauté française,» dit Richard Miller

• Les nouvelles des partis francophones • Jeudi 26/05/2011 • Version imprimable

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La proposition de résolution du Mouvement Réformateur et des trois autres partis francophones démocratiques de rebaptiser la Communauté française en «Fédération Wallonie-Bruxelles» a donc été adoptée mercredi par son Parlement et appuyée jeudi par son Gouvernement. Ce dernier va promouvoir la nouvelle appellation qui sera utilisée dans les supports de communication du Parlement et du Gouvernement (signalétique, logo, campagnes de communication, publications, papeterie, produits dérivés), ceci toutefois sans obligation absolue.«Les Ministres recourront également, par préférence, au terme Fédération Wallonie-Bruxelles, dans leurs propos et écrits émis dans le cadre de leurs compétences communautaires,» précise le communiqué du Gouvernement de la Communauté française.  Il s'agit de «fédérer les francophones, dans une logique de projet collectif, de solidarité, de défense d'intérêts communs et de collaboration mutuellement bénéfique.» Pour Le Député MR Richard Miller, «il ne faudrait pas sous-estimer l'importance de l'acte du changement de nom de la Communauté française.»«C'est un acte politique qui va au-delà des mots pour initier des éléments de réponse aux préoccupations quotidiennes de ceux qui vivent dans la partie francophone du pays. Ce sera aux responsables politiques à donner du contenu à cette Fédération,» a-t-il expliqué.  «La Communauté française n'a jamais pu assurer ses missions essentielles, pour des raisons budgétaires, et elle nécessite aujourd'hui un nouveau départ, c'est pourquoi plus qu'un glissement sémantique, il y a l'affirmation d'un double socle composé de deux Régions fortes, de Bruxelles et de Wallonie,» a encore affirmé Richard Miller. Caroline Persoons, Députée MR, a rappelé pour sa part que la Fédération était là aussi pour rester attentive aux drois des francophones "qui résident aux portes de Bruxelles."Richard miller a encore ajouté de soncôté que la Fédération «n'entraîne pas une régionalisation de l'enseignement mais un espace mieux adapté aux réalités de terrain pour une qualité renforcée de l'enseignement, ce qui devrait aussi pouvoir être appliqué à la culture.»  Pas question cependant pour Richard Miller de vouloir régionaliser la culture:«Le budget étriqué de la Communauté, conséquence, d'une mauvaise loi de financement en 1989, la confine à doter la RTBF et à répartir les subsides culturels, c'est tout. La Communauté française est dépassée dans les faits par ses moyens limités et doit déjà largement faire appel aux Régions pour lancer des initiatives.»

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