Source : MR > Bienvenue sur le site du Mouvement Réformateur

La chose la plus importante pour les citoyennes et les citoyens de ce pays, c'est le socio-économique, pas les réformes institutionnelles. C'est le salaire net ou la pension qui leur restera en poche à la fin du mois pour faire face à leurs achats, au coût de leur logement. C'est dans cet esprit que Charles Michel, Président du MR, a enjoint, ce jeudi, tous les partis engagés actuellement dans les négociations pour la formation d'un nouveau Gouvernement de mettre les matières sociales et économiques sur la table. Le plus vite possible!  Telle a toujours été la volonté des Libéraux pour toutes celles et tous ceux qui travaillent, ont travaillé, ou cherchent du travail.

Le blocage actuel sur la réforme de l'Etat n'est pas imputable à la seule N-VA: «Il faut arrêter de considérer que la N-VA peut chaque fois tout imposer de manière unilatérale... J'appelle le CD&V et j'appelle le PS... à pouvoir lancer cette négociation économique! Je constate que la N-VA est en tout cas soutenue par des partis néerlandophones notamment le CD&V qui n'ouvre pas le jeu...,» a déclaré Charles Michel, ce jeudi matin, dans une interview à Twizz Radio. «Des mesures structurelles et fondamentales doivent être prises en termes socio-économiques...je regrette qu'il n'y ait pas une fermeté plus grande de tous les autres partenaires flamands et francophones pour imposer le lancement des négociations économiques et sociales!,» a ajouté le Président réformateur. Charles Michel a aussi dit espérer que «dans les prochains jours, au terme de la mission de Wouter Beke (le Président du CD&V et conciliateur royal), il y aura la capacité de donner la main à une personnalité qui voudra se mouiller, prendre des responsabilités, être candidat Premier ministre et donc faire des propositions pour réformer l'Etat en profondeur et faire des propositions sur le plan économique et social.» Quand? «Au plus vite, au mieux bien entendu mais je ne vais pas jouer la petite carte des ultimatums parce que je sais qu'un ultimatum cela conduit toujours à l'échec!,» a poursuivi le Président du MR. «Mais si Wouter Beke considère qu'il y a un espace pour approfondir et pour donner une chance de succès à sa mission, il faut pouvoir lui donner cette capacité d'agir...,» a conclu Charles Michel.  

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